Deux nouvelles techniques pourraient transformer la pratique de la greffe cardiaque chez les donneurs décédés après arrêt circulatoire. Ces approches visent à préserver la fonction du cœur sans recourir à la perfusion régionale normothermique (NRP), une méthode efficace mais controversée du point de vue éthique.
Une méta-analyse publiée dans BMJ Evidence-Based Medicine confirme que certaines pratiques d’exercice physique doux, telles que le yoga, le tai-chi, la marche ou le jogging léger, peuvent améliorer significativement la qualité du sommeil chez les personnes souffrant d’insomnie. L’étude s’appuie sur l’analyse de 22 essais cliniques totalisant plus de 1.300 patients.
Considérés depuis longtemps comme responsables d’une élévation du cholestérol sanguin, les œufs ont été évités par de nombreux patients soucieux de leur santé cardiovasculaire. Toutefois, une étude menée par l’Université d’Australie-Méridionale apporte des données nouvelles.
Florence Bonkain, néphrologue, livre un témoignage poignant sur le désenchantement d’une vocation. Après treize années d’études et des années de pratique dans le public, elle dénonce l’instrumentalisation politique des médecins, le mépris pour leur travail quotidien, et l’hypocrisie des discours sur l’accès aux soins. À travers son regard, c’est toute une profession qui alerte : soigner ne peut plus se faire à perte, sous pression, ni dans la honte.
C’est ce que suggère une nouvelle étude menée chez la souris, dans laquelle un sucre naturellement présent dans le corps humain, le 2-désoxy-D-ribose, s’est révélé capable de stimuler la repousse des cheveux aussi efficacement que le minoxidil, traitement de référence contre l’alopécie androgénétique.
Une étude clinique randomisée suggère que la metformine pourrait réduire significativement la douleur articulaire chez les personnes souffrant d’arthrose du genou et présentant un surpoids ou une obésité.
Présentée lors du congrès annuel de l’Endocrine Society (ENDO 2025), une étude chinoise randomisée en parallèle a comparé trois approches diététiques chez des patients atteints de diabète de type 2 et d’obésité : le jeûne intermittent (5:2), la restriction calorique continue, et l’alimentation restreinte dans le temps (TRE, fenêtre de 10 heures). L’intervention, menée pendant 16 semaines auprès de 90 participants (63 ont complété l’étude), visait à évaluer les effets métaboliques de ces stratégies à apport calorique équivalent.
Dentistes, pédiatres, généralistes, ophtalmologues, logopèdes, kinésithérapeutes… Ils sont nombreux, de toutes les régions et de toutes les spécialités, à tirer aujourd’hui la sonnette d’alarme. À travers une série de témoignages forts et sincères, ces professionnels dénoncent les conséquences directes et délétères du projet de réforme porté par le ministre Frank Vandenbroucke. Une réforme qui, loin d’améliorer le système de soins, menace selon eux la qualité, l’humanité et même la viabilité de l’exercice médical en Belgique.
Des données présentées au congrès ENDO 2025 indiquent que les agonistes du GLP-1 permettent une perte de poids significative, même lorsque leur administration est interrompue ou irrégulière. Une bonne nouvelle pour les patients confrontés à des ruptures de stock ou à des difficultés de remboursement.
La ménopause s’accompagne de profonds bouleversements métaboliques et vasculaires qui augmentent le risque cardiovasculaire. Une étude récente, publiée dans Menopause et menée dans le cadre de la cohorte SWAN (Study of Women’s Health Across the Nation), révèle que seules 20 % des femmes ménopausées atteignent un score optimal selon l’outil d’évaluation Life’s Essential 8 (LE8) de l’American Heart Association.
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Je suis médecin généraliste conventionnée , pensionnée mais encore en activité.
L'an passé j'ai reçu une patiente médecin elle-mème terminant sa spécialité , elle était en plein burnout , découragée (fatiguée par les gardes, la pression des consultations -20 patients par matinée) Elle n'avait plus confiance en elle-mème.
Je l'ai mise en ITT longue durée .
Elle est partie en ....Suède !!! après avoir appris le suédois et était accueillie là bas à bras ouvert.
Monsieur le ministre n'est pas sot, c'est un homme instruit. Instruit et imbibé de chiffres. Il sait que notre pays est depuis bien dix ans incapable de continuer à financer la sécurité sociale belge (en fait, son ministère archi-principal; la santé n'est qu'accessoire) de la manière qui fut conçue en 1944 (Londres)-1964.
Trop de choses ont changé. Un seul exemple suffit, l'espérance de survie est passée de 65 à 85 ans grâce à des traitements incroyables dont les prix sont inouïs.
Instruit mais idéologue, il se refuse à actionner le GRAND STOP. D'ailleurs, le ferait-il qu'il n'y aurait pas cent personnes en Be pour l'accompagner.
Mais alors quoi? Ou même "Non mais allô quoi?" Alors on bricole, on prétend faire une super-réforme, formidable, un Big Beautiful Act qui ne consiste qu'à RABOTER N'IMPORTE QUOI N'IMPORTE COMMENT.
Ensuite, comme son modèle, Trumpf, il lui suffira de dire que c'est la faute des autres, les vilains, les affameurs du peuple, infirmiers, prothésistes, médecins, chimistes, bandagistes, dentistes, pharmaciens, tous et qu'il AVAIT eu raison. "Avait" car lorsque les choses tourneront mal, il ne sera plus en charge des dégâts.
Pendant ce temps, stupidement confiante, la population claque l'argent qu'elle n'a pas en coûteuses distractions. Ils sont en vacances, profitons-en.
Enfin, faut-il laisser 6.000 jeunes espérer devenir médecins SANS LEUR DIRE LA VÉRITÉ sur ce qui les attend ?
Mais pour qui notre ministre roule-t-il ?
Sa fixette sur les IPP paraît suspecte. En effet, au-delà des considérations purement médico-thérapeutiques auxquelles il ne connaît rien, il y a des faits financiers qu’il connaît mais se garde de communiquer. Voyez ces quelques chiffres.
Une alternative (inférieure) aux IPP est la suspension GAVISCON.
En Belgique, elle n’est pas remboursée et coûte 23,97 euros les 600 ml soit 3,99 euros par 100 ml.
Étrangement, en France, la suspension coûte 3,20 euros les 250 ml, soit 1,28 euros les 100 ml, bien moins que moitié moins cher qu'ici.
En prime, la Sécu française intervient pour 15%. On est donc à 1,10 euros les 100 ml.
Et par-dessus : « De nombreuses mutuelles santé peuvent compléter ce remboursement, parfois jusqu'à 100% du prix, selon les garanties de chaque contrat. »
Notre super-super-super ministre formé aux calculs compliqués sait parfaitement cela. Alors, pour qui roule-t-il de sa voix pateline ?
Veut-il engraisser quelqu'un ?
Excellent article qu’apporte de la lumière au sujet.
Le système de santé est gravement malade et les médecins agonisent pour le sauver.
Nous ne pouvons pas assumer la responsabilité à leur place, mais assumons la nôtre, qu’est in transférable et précieuse: nous avons de vies dans nos mains…
Notre liberté reste essentielle pour la survie de notre classe, ou nous irons aussi tous succomber avec le système.
Article édifiant bien que destiné à un cercle limité (je suis non professionnel santé - mais professionnel com'). Sans prendre parti, il est évident que les mutuelles ont des intérêts lucratifs dissimulés. Il serait nécessaire sur cette base, de mieux organiser la communication. Nécessaire d'informer la population qui est en général plus intelligente que ce pour quoi les politiciens la tiennent. Que les médecins constituent une cellule et se donnent un peu de moyens pour communiquer dans la durée sur divers canaux (Radio, réseaux, etc...). Manifester, mais pour attirer l'attention de la presse uniquement sur les vraies problematiques... bon courage.
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