Le New York State Department of Health a confirmé le premier cas de chikungunya acquis localement dans l’État. Le cas a été identifié dans le comté de Nassau, sur Long Island, marquant la première transmission locale signalée à New York et la première aux États-Unis depuis 2019.
Une étude clinique randomisée menée aux urgences montre qu’un programme de relaxation musculaire progressive (PMR) délivré via une application mobile peut réduire significativement le handicap lié à la migraine sur trois mois, bien que son effet sur la qualité de vie et la fréquence des crises demeure limité.
Une étude rétrospective menée entre 2013 et 2020 a montré que les femmes âgées de 80 ans et plus ayant bénéficié d’une mammographie de dépistage dans les deux années précédant leur diagnostic de cancer du sein présentaient des formes plus précoces de la maladie et une meilleure survie que celles non dépistées.
Des chercheurs de l’Université de Floride et du MD Anderson Cancer Center (Texas) ont observé que les patients atteints d’un cancer avancé du poumon ou de la peau ayant reçu un vaccin à ARNm contre la Covid-19 dans les 100 jours suivant le début de leur immunothérapie présentaient une survie significativement prolongée par rapport à ceux non vaccinés.
Les données de la Bogalusa Heart Study montrent que la charge tensionnelle cumulée au cours de la vie est étroitement liée aux performances cognitives à la quarantaine, indépendamment du sexe ou de l’origine ethnique.
Une vaste étude transversale portant sur 471.228 adultes issus de 91 pays montre qu’environ un adulte sur cinq présentant un indice de masse corporelle (IMC) normal souffre d’obésité abdominale, un profil associé à un risque accru de troubles cardiométaboliques.
L’intelligence artificielle (IA) s’impose progressivement dans les pratiques endocrinologiques, offrant un gain de temps considérable tout en soulevant des questions éthiques et cliniques. Dans une discussion publiée dans Endocrine Today, les Drs Jonathan Leffert et David Lieb font le point sur les bénéfices et les limites de cette révolution technologique.
Présentée au congrès de l’European College of Neuropsychopharmacology (ECNP) à Amsterdam, une étude de l’Université de Milan suggère qu’un régime cétogène riche en graisses et pauvre en glucides pourrait atténuer les effets durables du stress prénatal sur le développement cérébral.
Une méta-analyse publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society (octobre 2025) montre que les inhibiteurs du SGLT2 offrent des bénéfices cardiovasculaires significatifs chez les adultes âgés de 65 ans et plus atteints de maladie cardiovasculaire.
Une vaste étude menée sur plus de 71 000 participants de la UK Biobank, publiée dans JACC: Advances, montre qu’un régime végétal sain peut atténuer le risque de démence chez les personnes atteintes de maladies cardiométaboliques (CMD) telles que le diabète de type 2, les maladies cardiaques ou les accidents vasculaires cérébraux.
Une étude rétrospective menée par le Pr Fabrice Bonnet (CHU de Rennes) et publiée dans Cardiovascular Diabetology montre que la thérapie par testostérone réduit le risque de complications rénales et cardiovasculaires chez les hommes atteints de diabète et d’hypogonadisme.
Une vaste étude observationnelle rétrospective portant sur plus de 460 000 adultes a mis en évidence une fréquence élevée de carences nutritionnelles chez les patients traités par agonistes du récepteur du GLP-1 (GLP-1RA), tels que le sémaglutide, qu’ils soient diabétiques ou non.
"Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et"
Comme d'hab: généralistes "merde". devenus "prescripteurs" pour les labos, "gestionnaires" de DMG, rédacteurs de certificats, et formulaires de demandes de remboursements..; et autres joyeusetés. Adieu Hippocrate!
Il fut un temps où le Ministère de la santé publique s’inquiétait de la consommation d’alcool.
Aujourd’hui, nombre de représentants et responsables politiques reconnaissent leurs alcoolisations sans vergogne aucune. Voici quelques jours à peine, l’un d’entre eux, après avoir été pris en flagrant délit d’inconduite notoire en état d’ivresse n’a pas démissionné immédiatement de toutes ses fonctions mais a promis (?) de ne plus boire d’alcool…JUSQU’AUX PROCHAINES ÉLECTIONS ! (S’il tient jusque-là… Ensuite..?)
• « Les pays européens ont le plus haut niveau de consommation d'alcool au monde. La Belgique, avec une consommation moyenne de 12 litres d'alcool pur par habitant et par an, se situe au-dessus de la consommation moyenne européenne et fait partie des pays où la morbidité liée à l'alcool est élevée.
Surconsommation d'alcool : consommation hebdomadaire supérieure à 21 boissons contenant l'équivalent de 10 g d'alcool pur chez les hommes et de 14 boissons chez les femmes ;
• Parmi les 15-24 ans, environ un jeune sur dix a déclaré un épisode hebdomadaire de "consommation d'alcool à risque en une seule occasion" (consommation d'au moins 6 verres d'alcool en une seule occasion), et également un jeune sur dix remplissait les critères de "consommation problématique d'alcool" (tels que définis par le questionnaire CAGE) au cours des 12 derniers mois.
• • Hyper-alcoolisation hebdomadaire (Weekly Risky Single Occasion Drinking (WRSOD)) : consommation de 6 verres ou plus en une seule occasion, au moins une fois par semaine ;
• La prévalence de l’hyper-alcoolisation une fois par semaine en Belgique est SUPERIEURE à LA MOYENNE de ’UE-15, et ce pour les deux sexes (11,5% vs 8,4% pour les hommes, et 3,9 % vs 2,6 % pour les femmes).
• C’est en Europe que la consommation d’alcool est la plus élevée (9,5 l) comparé au reste du monde (5,8 l).
• SOURCE/ https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/etat-de-sante/determinants-de-sante/consommation-d-alcool
•
Il ne s’agit absolument pas de personnes qui ont pris UN verre d’alcool au cours de l’année écoulée (cf « UN Belge sur 4 a consommé des psychotropes en 2022 »).
Chaque Belge de plus de 14 ans (y compris les hospitalisés aux soins intensifs et les vieillards grabataires) ingurgite en moyenne DOUZE LITRES d’ALCOOL PUR par an !
Et pendant ce temps-là notre Ministère entreprend la stigmatisation et la chasse aux médecins qui prescrivent quelques dizaines de comprimés de psychotropes à des personnes en souffrance.
Je répète ma question : Pour qui roulent-ils ? Jupiler ?
La recherche fondamentale est impérative . Ses résultats ne devraient cependant être publiés urbi et orbi que après ses conclusions à une majorité à définir par des scientifiques autorisés . Trop tôt c'est prématuré. Trop tard c'est obsolète .
Un quidam, parmi tant d'autres , dont les coordonnées sont bien connues de ceux/ celles qui ont publié cet article , coordonné par l'expert Bart de Strooper (VIB-KU Leuven ).
Mes commentaires n'ont jamais été anonymes , ne le sont pas et ne le seront jamais .
Il faut lire tout le texte.
La note de conclusion de l'OMS explicite clairement ceci:
« Les données faisant état d’une association entre la consommation d’aspartame et le cancer chez l’homme ne sont pas convaincantes », a déclaré le Dr Moez Sanaa, Chef de l’Unité Normes et avis scientifiques sur l’alimentation et la nutrition de l’OMS. 14 juillet 2023
Publication des résultats de l’évaluation des dangers et des risques liés à l’aspartame
14 juillet 2023 Communiqué commun
Genève https://www.who.int/fr/news/item/14-07-2023-aspartame-hazard-and-risk-assessment-results-released
Les évaluations portant sur les effets sur la santé de l’aspartame, un édulcorant sans sucre, sont publiées aujourd’hui par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) et le Comité mixte d’experts des additifs alimentaires de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) (en anglais).
Citant une « indication limitée » de cancérogénicité pour l’homme, le CIRC a classé l’aspartame comme « peut-être cancérogène pour l’homme » (groupe 2B du CIRC, en anglais) et le Comité mixte a réaffirmé la dose journalière admissible de 40 mg par kilogramme de poids corporel.
L’aspartame est un édulcorant artificiel (chimique) largement utilisé dans divers produits alimentaires et boissons depuis les années 1980, y compris les boissons à faible teneur en calories (ou « light »), les chewing-gums, la gélatine, la crème glacée, les produits laitiers tels que le yogourt, les céréales pour le petit-déjeuner, le dentifrice et les médicaments tels que les pastilles contre la toux ou les vitamines à croquer.
« Le cancer figure parmi les principales causes de décès dans le monde. Chaque année, une personne sur six meurt d’un cancer. La science ne cesse de progresser dans son évaluation des éventuels facteurs qui induisent ou favorisent le développement d’un cancer, dans l’espoir de réduire ces chiffres ainsi que le bilan humain », a déclaré le Dr Francesco Branca, Directeur, Département Nutrition et sécurité sanitaire des aliments de l’OMS. « Les évaluations concernant l’aspartame ont indiqué que, si la sécurité sanitaire ne constitue pas une préoccupation majeure compte tenu des doses couramment utilisées, des effets potentiels ont été décrits et doivent faire l’objet d’études plus nombreuses et plus approfondies. »
Les deux organismes ont mené des examens indépendants, mais complémentaires en vue d’évaluer le danger cancérogène potentiel ainsi que d’autres risques pour la santé associés à la consommation d’aspartame. C’était la première fois que le CIRC menait une évaluation de l’aspartame et la troisième fois pour le Comité mixte.
Après avoir examiné la littérature scientifique disponible, les deux évaluations ont relevé des limitations concernant les données disponibles sur le cancer (et d’autres effets sur la santé).
Le CIRC a classé l’aspartame comme « peut-être cancérogène pour l’homme » (groupe 2B) sur la base d’une « indication limitée »de cancer chez l’homme (en particulier, pour le carcinome hépatocellulaire, qui est un type de cancer du foie). En outre, il existait une « indication limitée » de cancer chez l’animal de laboratoire, de même qu’une « indication limitée » concernant les mécanismes possibles d’action cancérogène.
Le Comité mixte a conclu que les données évaluées ne fournissaient aucun motif suffisant justifiant une modification de la dose journalière admissible de 0 à 40 mg par kilogramme de poids corporel (en anglais) précédemment établie pour l’aspartame.
Par conséquent, le Comité mixte a réaffirmé qu’une personne peut consommer de l’aspartame sans risque dans la limite de cette quantité journalière.
Par exemple, avec une canette de boisson gazeuse light contenant 200 ou 300 mg d’aspartame, un adulte pesant 70 kg devrait consommer plus de 9 à 14 canettes par jour pour dépasser la dose journalière admissible, en supposant aucun autre apport en aspartame provenant d’autres sources alimentaires.
L’identification des dangers par le CIRC constitue la première étape fondamentale pour comprendre la cancérogénicité d’un agent en identifiant ses propriétés spécifiques et son potentiel nocif, c’est-à-dire le cancer. Les classifications du CIRC mettent en évidence la solidité des preuves scientifiques quant à la capacité d’un agent à causer un cancer chez l’homme, mais elles ne révèlent pas le risque de développer un cancer à un niveau d’exposition donné.
L’évaluation du danger menée par le CIRC tient compte de tous les types d’expositions (p. ex. alimentaires, professionnelles). La classification fondée sur la solidité des preuves dans le groupe 2B est le troisième niveau le plus élevé sur les quatre niveaux (en anglais), et elle est généralement utilisée dans les deux situations ci-après : lorsqu’il existe une indication limitée, mais insuffisante, de cancer chez l’homme ou une indication suffisante de cancer chez l’animal de laboratoire, mais pas dans les deux situations à la fois.
« Les conclusions présentant une indication limitée quant à la cancérogénicité pour l’homme et l’animal, et des données mécanistiques limitées sur la manière dont la cancérogénicité peut se produire, soulignent la nécessité de mener davantage de travaux de recherche afin de mieux comprendre dans quelle mesure la consommation d’aspartame présente un danger cancérogène », a déclaré la Dre Mary Schubauer-Berigan, Programme des Monographies du CIRC.
Les évaluations des risques menées par le Comité mixte permettent de déterminer la probabilité qu’un type particulier d’effets nocifs, c’est-à-dire un cancer, se produise dans certaines conditions et à certains niveaux d’exposition. Il n’est pas inhabituel que le Comité mixte tienne compte des classifications du CIRC dans ses délibérations.
« Le Comité mixte a également examiné les éléments de preuve concernant le risque de cancer, dans le cadre d’études menées chez l’animal et chez l’homme, et a conclu que les données faisant état d’une association entre la consommation d’aspartame et le cancer chez l’homme ne sont pas convaincantes », a déclaré le Dr Moez Sanaa, Chef de l’Unité Normes et avis scientifiques sur l’alimentation et la nutrition de l’OMS. « Nous avons besoin de meilleures études avec un suivi plus long et des questionnaires sur l’alimentation répétés dans les cohortes existantes. Nous avons besoin d’essais contrôlés randomisés, y compris des études sur les voies mécanistiques pertinentes pour la régulation de l’insuline, le syndrome métabolique et le diabète, en particulier en lien avec la cancérogénicité.
Les évaluations du CIRC et du Comité mixte concernant les effets de l’aspartame étaient fondées sur des données scientifiques collectées auprès de différentes sources, notamment des articles évalués par des pairs, des rapports gouvernementaux et des études menées à des fins réglementaires. Les études ont été examinées par des experts indépendants, et les deux comités ont pris des mesures pour garantir l’indépendance et la fiabilité de leurs évaluations.
Le CIRC et l’OMS continueront d’effectuer un suivi des nouvelles données probantes et encouragent les groupes de recherche indépendants à réaliser d’autres études sur l’association potentielle entre l’exposition à l’aspartame et les effets sur la santé des consommateurs.
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