Face aux réformes projetées par le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke, l’ABSyM-BVAS et le Cartel s’allient pour défendre les intérêts des médecins. Les deux syndicats dénoncent un dialogue devenu monologue et rappellent leur volonté de contribuer à une réforme constructive du système de santé. Mais pas à n’importe quel prix : cinq lignes rouges, non négociables, balisent leur position.
Perdre un mamelon à la suite d’un cancer du sein, d’une brûlure ou d’une intervention chirurgicale laisse une empreinte bien au-delà des cicatrices physiques. À Sint-Niklaas, le Tepelinstituut by Jeangout propose désormais une alternative sans douleur, non invasive et esthétiquement réaliste : des prothèses mammaires 3D, faites main et certifiées médicalement (CE classe I, FDA). Conçues pour imiter parfaitement l’aspect, la couleur et la texture du mamelon et de l’aréole, ces prothèses se fixent à la peau à l’aide d’une colle médicale biocompatible, testée sur les peaux sensibles.
Une étude clinique randomisée montre qu’un ajustement de l’anesthésie guidé par électroencéphalogramme (EEG) permet de réduire significativement l’incidence du delirium émergent post-anesthésie (PAED) chez l’enfant. Cette complication fréquente, caractérisée par une agitation confusionnelle en salle de réveil, reste mal comprise et semble favorisée par une exposition excessive aux agents anesthésiques volatils, notamment le sévoflurane.
Alors que les autorités incitent les industriels à réduire progressivement la teneur en sucre de leurs produits dans différents pays, le Pr Philipp Gerber (Hôpital universitaire de Zurich) rappelle que les effets du sucre dépassent la simple question des calories. Endocrinologue et spécialiste de la nutrition clinique, il alerte notamment sur les conséquences métaboliques d’une consommation excessive et régulière de sucres ajoutés.
Présentée lors du congrès international 2025 de l’American Thoracic Society, une étude menée à l’Université de Californie, San Diego, met en lumière un biais préoccupant dans le dépistage du delirium chez les patients hispanophones hospitalisés en soins intensifs. Les outils habituellement utilisés – notamment le Confusion Assessment Method (CAM) – perdent en fiabilité dès lors que soignant et patient ne partagent pas la même langue.
Une classe ancienne de médicaments antidiabétiques pourrait offrir un nouvel espoir aux patients atteints de cancer de la prostate. Selon une étude préliminaire menée par le Dr Lukas Kenner (Université d’Umeå, Suède), les thiazolidinediones (TZD) – des molécules ciblant le récepteur PPAR-gamma – seraient associées à une absence de récidive biologique après traitement chirurgical du cancer.
Une étude révèle que les cellules CAR-T dérivées de patients âgés présentent un métabolisme mitochondrial altéré et une efficacité antitumorale réduite. Ce dysfonctionnement est associé à une diminution du NAD (nicotinamide adénine dinucléotide), une coenzyme essentielle à la production d’énergie cellulaire.
Un projet pilote mené en Irlande évalue l’impact de la réalité mixte sur l’expérience des donneurs de sang. Les donneurs participants peuvent porter un casque léger à visière translucide, permettant de rester visibles et observables par le personnel soignant tout en étant immergés dans des jeux relaxants. Cette technologie vise à réduire l’anxiété liée au geste du don et à favoriser la rétention des donneurs, en particulier chez les jeunes.
Une récente étude menée par Google met en évidence la performance supérieure de son agent conversationnel médical, l’Articulate Medical Intelligence Explorer (AMIE), dans l’identification d’éruptions cutanées à partir d’images. Cette version améliorée du chatbot médical intègre des capacités avancées de reconnaissance d’image, permettant l’analyse de lésions dermatologiques via des photographies prises par smartphone.
Une étude rétrospective menée à l’UZ Brussel, publiée dans le Journal of Geriatric Oncology, montre que la chirurgie robotique pour cancer du côlon est aussi sûre chez les patients âgés, y compris ceux de 80 à 89 ans, que chez les plus jeunes. L’analyse a porté sur 231 patients opérés par robot entre 2016 et 2022. Aucun écart significatif n’a été observé en termes de mortalité à 90 jours ou de complications graves entre les groupes d’âge.
Une méta-analyse publiée dans JAMA Psychiatry montre que les agonistes des récepteurs du GLP-1 (GLP1-RA), prescrits dans la prise en charge de l’obésité et du diabète, ne sont pas associés à une augmentation du risque d’effets indésirables psychiatriques. Au contraire, leur utilisation pourrait être liée à une amélioration du bien-être émotionnel.
Une étude menée au Catharina Ziekenhuis (Pays-Bas) montre qu’une prise en charge ciblée du mode de vie avant une ablation pour fibrillation auriculaire permet de réduire significativement le taux de reprise de l’intervention. Chez les patients ayant bénéficié d’une intervention lifestyle avant la procédure, la probabilité de devoir subir une seconde ablation a diminué de 45 %, passant de 30 % à 18 %. Dans certains cas, l’amélioration du mode de vie a même permis d’éviter l’intervention initiale.
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Ce Dimanche 2 octobre 2022 12h36 j'ai pris connaissance de deux cas de personnes récemment positives au COVID ( cliniquement et par frottis ) et que je sais être très pro-actives dans ce domaine .
Du temps de la peste, on disait : ' tous étaient touchés, mais tous ne moururent pas " et la quarantaine n'était pas un mythe .
Comme Soeur Anne, j'attends des conseils utiles, autres que les principes de précaution ( poursuite du port du masque et de gants lors de tous mes déplacements, vaccination Anticovid actualisée : 5 ième dose réalisée fin septembre 2022, vaccination contre la grippe programmée en début octobre 2022 , lavage régulier et adéquat des mains. Autos Frottis fréquents , tous négatifs > fin septembre 2022 . Que faire de plus ?
Jean-Louis BARRAULT né le 8 sept 1910 et décédé le 22 jan 1994 a déclaré : La démocratie, c'est " ferme ta gueule " "la démocratie, c'est " cause toujours "
Le jeudi 29 sept 2022 à 21:09, j'ai adressé au rédacteur en chef du JM ( le journal du médecin ) un courriel consacré à la chirurgie bariatrique d'une part et d'autre part au Cobalt , l'envers du rêve électrique .
Ce samedi 1er octobre 2022 , entre 11h et 12h39 , je me proposais de réagir à la une de la Nouvelle Gazette , consacré à Maisons de repos P3, : Les tarifs de L'ISPPC augmentent de 9,33 % ce 1er octobre , ceux des homes du CPAS de Charleroi seront en hausse de 3,5% des 2023.
Que faire ? Dr Yves Van Crombrugge . Votre réponse ?
bonjour
vous trouverez ici une etude sur deux ans de suivi de patients en Belgique
cette etude arrive aux mêmes conclusions
Elle a été publiee il y a peu et fait partie d'un numero special consacré a la recherche Covid en Belgique
https://www.mdpi.com/1999-4915/14/9/2000
Biena vous
mj
"Khosta-2, un nouveau coronavirus susceptible d'infecter les humains"
Si c'est vrai : nos dirigeants doivent prendre les mesures adéquates . Dans le doute le principe de précautions est impératif . Je continue à porter un masque et des gants , à éviter tant que faire se peut les contacts sociaux . Il est plus que temps que les instances , responsables de la santé , prennent des mesures adéquates à court , moyen et long terme . Elles possèdent les données qui leur sont accessibles ( anciennes , actuelles, futures ? ) .
La covid est un évènement , la guerre en UKRAINE est un autre évènement , le réchauffement climatique en est un autre . , Quelle différence entre les conflits de 1870 , de 1914-1918, de 1939-1945, les autres trop nombreux après 1945, malgré L'ONU, l'OTAN ? En ukraine et dans toutes les autres zones en conflit , car propriétaires de ressources prioritaires ,convoitées par ....... inconnus ? prêts à des négociations dont le contenu, entre les " divers " partenaires des négociations est actuellement inconnu .
C'est très bien écrit, Monsieur De Moor, c'est une belle synthèse. MERCI beaucoup.
Il est regrettable que nous ne puissions pas nous concerter (Médecin de la Mutuelle, Médecin du Travail, etc... pour voir ce que nous pourrions mettre en place "en amont" avant d'arriver au statut "d'Invalide"... Y compris la Personne concernée par ce "burn-out"...
Mais je me suis laissé dire que nombre de Médecins de la Mutuelle étaient eux-mêmes proches de ce "burn-out"... de sorte que la boucle semble bien bouclée...
Bref, ne nous en faisons pas trop, "ça va y aller" comme dirait ma Petite Fille...
Cet article du confrère De Moore me choque. D'abord parce qu'en termes de maladies chroniques, le burn-out n'est absolument pas la seule maladie concernée. Dans l'ensemble des maladies chroniques, quelle est la part, le pourcentage, de celles dues au burn-out? Cela n'est pas précisé. Ensuite, plus spécifiquement vis-à-vis du burn-out, parce que le confrère De Moor considère ce problème en termes personnels. Il semble ignorer le contexte dans lequel les individus travaillent. Or nul ne peut ignorer que ce contexte a considérablement changé depuis une vingtaine d'années : la pression exercée sur les employés et ouvriers, tant dans le secteur public que privé, a considérablement augmenté. Il est demandé (le mot est faible) d'en faire toujours plus, toujours plus vite, avec toujours moins de moyens et de temps. Et cela pour une seule raison, tant dans le public que le privé : l'argent. Pour le secteur privé il s'agit de maximiser les bénéfices des actionnaires, pour le secteur public il s'agit de faire un maximum d'économies. Dans tous les cas, le processus est le même : pressuriser au maximum les gens pour tirer un maximum de bénéfices ou d'économies. La question du burn-out ne se pose donc pas au niveau individuel mais elle questionne notre modèle de société. Imputer l'importance du nombre des burn-out aux personnes, c'est éviter de se poser la question essentielle : pourquoi de plus en plus de personnes tombent-elles en burn-out? Comment se fait-il que notre mode de fonctionnement sécrète autant de burn-out? Ne poser la question qu'en termes individuels c'est faire l'impasse sur les véritables responsabilités dans un système qui dysfonctionne, et sur les changements inévitables à opérer. En d'autres termes : c'est se priver du moyen de résoudre le problème. Remettre au travail des gens en burn-out en les replaçant dans les mêmes conditions qui ont généré le burn-out ne peut que conduire à davantage de burn-out, voire à des comportements encore plus graves, par exemple suicidaires. Je ne suis pour autant pas naïf : je sais qu'il existe probablement des petits malins qui profitent habilement et honteusement de notre système de sécurité sociale si généreusement bâti par nos ancêtres. Mais je suis certain que ceux-là sont minoritaires, et je n'ai aucun doute quant à une soit-disant complaisance des Généralistes, et encore moins celle des Médecins Contrôleurs. En conclusion, selon moi, on ne résoudra le problème endémique du burn-out qu'en agissant sur les causes qui l'ont généré. Dr Jl Seillier.
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