Les personnes atteintes de diabète de type 2 présentent un risque jusqu’à quatre fois plus élevé d’infarctus, d’accident vasculaire cérébral ou d’autres événements cardiovasculaires majeurs que la population générale. Identifier précocement les patients les plus exposés demeure un enjeu majeur.
Une étude canadienne, publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society, montre que les adultes âgés hospitalisés pour une infection par le virus respiratoire syncytial (VRS) présentent un risque accru de complications cardiovasculaires.
Une équipe de chercheurs a identifié dans la sève d’érable un composé naturel, l’épicatechine gallate, capable d’inhiber la croissance des bactéries responsables des caries. Ces résultats, publiés dans Microbiology Spectrum, suggèrent un potentiel pour développer des produits d’hygiène bucco-dentaire sans alcool et avec moins d’agents chimiques.
Une étude décrit une approche thérapeutique innovante visant à prévenir le diabète de type 1 (DT1) en rééquilibrant la réponse immunitaire. Les résultats ont été publiés dans la revue Molecular Metabolism.
Dentiste en cabinet privé, Julie Hourmont illustre, à travers un exemple concret, les limites du projet porté par le ministre Frank Vandenbroucke. Le plafonnement des honoraires met en péril la prise en charge de nombreuses affections. Parmi celles-ci, le bruxisme, un mal de plus en plus fréquent lié au stress.
Environ 10 % de la population mondiale souffre de douleurs chroniques, un fardeau qui représente aux États-Unis des coûts supérieurs à ceux du diabète et du cancer réunis. Les pratiques bouddhistes, centrées sur l’acceptation de la souffrance, offrent une approche particulière de la douleur, en distinguant la sensation physique de la souffrance psychique.
Les personnes âgées sont particulièrement vulnérables aux vagues de chaleur, mais elles n’en ont pas toujours conscience et ne se préparent que rarement à affronter des épisodes prolongés de températures extrêmes.
Les effets délétères de l’obésité dépassent la simple accumulation de masse grasse, puisqu’elle favorise un large éventail de maladies chroniques – diabète de type 2, hypertension, maladies cardiovasculaires, insuffisance rénale chronique, apnée du sommeil, stéatose hépatique, cancers, entre autres – et contribue de manière significative à la multimorbidité.
Derrière l’idée reçue d’un système « trop cher », le quotidien du Docteur Aude Montanier, généraliste conventionnée en zone rurale, raconte une tout autre réalité : rendez-vous manqués, traitements non suivis, urgences évitables… Autant de comportements qui épuisent les soignants et fragilisent un système déjà sous tension. Plaidoyer pour une responsabilité réellement partagée.
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Je suis absolument sidéré.
Une consultation téléphonique COVID selon le témoignage de nombre de mes patients dure en général moins de 3 minutes, et se solde par un conseil sommaire et abscons : "attendez et prenez du Dafalgan". Cette attitude d'une majorité de généralistes doit être considérée comme un manquement grave à la déontologie et pire, à la plus simple humanité.
La téléconsultation est un contre-sens absolu et les 20, les 10, ou les 2 euros que la société pourrait consacrer à cela relève du vol organisé d'argent public. Je suis extrêmement heureux d'avoir quitté les chambres syndicales. J'en ai été administrateur un bref temps, malheureusement juste après Wynen... Elles sont aujourd'hui devenues un simple marché persan...
Editorial plein de bon sens !
Mais on sait que scientifiques et politiciens ne se comportent pas de la même façon... ceux-ci doivent veiller à ne pas prendre trop de mesures impopulaires et cela ira croissant au fur et à mesure que se rapprochent les prochaines élections, objectif essentiel à atteindre dans les meilleures conditions possibles en vue de leur réélection...
Un médecin qui ferait de la médecine "HUMAINE", et capable de compassion et d'adaptation de son schéma de base (prudence sanitaire)???!!!!
ça existe encore?
C'est l'évidence-même et seuls ceux qui, par ignorance ou intégrisme absurde, ne veulent pas comprendre, n'accepteront pas ce raisonnement basé sur la vérité scientifique actuelle ( car l'on sait que celle-ci peut varier dans le temps, la médecine n'étant pas une science exacte).
La CJUE a d'ailleurs affirmé que la vaccination obligatoire n'était pas contraire aux droits humains..ce qui est aussi l'évidence-même !
Je suis étonné de la position du commissaire Corona, Monsieur Facon, car le pass vaccinal n'est qu'un obligation déguisée et donc assez hypocrite. Et effectivement, elle impose des contrôles par des personnes dont ce n'est absolument pas le rôle.
Si l'on va jusqu'au bout de la logique de votre article bien violent à l'égard des non vaccinés (Et dans le cadre d’une obligation vaccinale généralisée ; ceux qui malgré tout persisteraient obstinément dans leur refus, sous le couvert du « libre choix », devraient alors, par écrit, en assumer pleinement les conséquences, à savoir : ne pas être admis en unité de soins intensifs au détriment d’un patient n’ayant pas choisi son état, ne pas être rémunéré par leur employeur le temps de la maladie Covid et de ses conséquences et assumer entièrement les éventuels frais médicaux et hospitaliers qui en découleraient. En bref: « assumer pleinement leur choix, sans impacter les autres patients et la société ) , il faidrait également interdire la parole aux imbéciles qui ont librement choisis d'arrêter leurs études qui sont pourtant obligatoires ... . Votre aveuglement me fait peur car il est source d'une dérive tyranique impressionnante : toute personne doit être parfaite et devra assumer le moindre écart de conduite : tu as bu, paies donc ta cirrhose , tu as fumé , paies donc ton cancer , tu as émis un pet de trop , paies donc une taxe sur la pollution , tu as mangé trop de gras et de sucre et n'as pas été faire du sport , paies donc ton AVC , ton diabète et ton infarctus , tu es bête parce que tu n'as pas assez étudié , paies donc ce qu'on te demande sans comprendre et sans rouspèter ....Ainsi , avec un tel (dé-) raisonnement nous devenons chacun un sous-homme pour chacun du moindre de nos manquements qu'il nous faudra " assumer " en payant la facture . Monsieur , je ne souhaite pas vivre dans ce monde de gens parfaits que vous nous proposer ... Ce monde n'existe que dans votre délire récurrent et obscène .
Si votre courrier me semble plein de bon sens, je me permets de vous questionner quant à la responsabilité sociale et financière du fumeur, de l'alcoolique, de l'obèse, du toxicomane,etc...,dont le coût financier a été assumé par la collectivité depuis des lustres.
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