Perdre un mamelon à la suite d’un cancer du sein, d’une brûlure ou d’une intervention chirurgicale laisse une empreinte bien au-delà des cicatrices physiques. À Sint-Niklaas, le Tepelinstituut by Jeangout propose désormais une alternative sans douleur, non invasive et esthétiquement réaliste : des prothèses mammaires 3D, faites main et certifiées médicalement (CE classe I, FDA). Conçues pour imiter parfaitement l’aspect, la couleur et la texture du mamelon et de l’aréole, ces prothèses se fixent à la peau à l’aide d’une colle médicale biocompatible, testée sur les peaux sensibles.
Fondé par Annick Jeangout, pionnière flamande de la dermo-cosmétique depuis 1981, ce nouvel institut prolonge l’expertise développée dans sa Haarkliniek, spécialisée dans les solutions capillaires post-cancer. L’objectif est clair : aider les patientes à se réapproprier leur corps et leur féminité, sans subir de nouvelle opération ni phase de convalescence.
Les prothèses existent en plusieurs tailles et teintes, adaptées à toutes les carnations. Elles peuvent être standardisées ou fabriquées sur mesure, notamment à partir d’une empreinte de l’autre sein en cas de mastectomie unilatérale. Résistantes à l’eau, elles peuvent être portées plusieurs semaines consécutives, y compris pendant les activités physiques, la douche ou la natation. Leur durée de vie est estimée à deux ans.
Cette initiative répond à un besoin souvent négligé dans le parcours oncologique : celui de se reconnaître à nouveau dans son reflet. En recréant une apparence naturelle, les prothèses 3D restaurent confiance, estime de soi et qualité de vie.
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L’équipe de rédaction Tempo Today