Nous avons le plaisir de vous informer que le congrès annuel « Les rencontres d’Endocrinologie-Diabète » se tiendra le samedi 29 novembre au Holiday Inn Brussels Airport, ainsi qu’en ligne.
Cet événement, organisé par l’asbl EDUETHICS et sous l’égide des Professeurs Christophe De Block (UZ Antwerpen) et Régis Radermecker (U Liège), est devenu incontournable pour les médecins généralistes et les praticiens en diabétologie.
Il y sera question d’endocrinologie au sens large du terme mais aussi de traitement du diabète qui, au regard des nouveautés apparues ces dernières années, est en constante évolution. Autant de thèmes qui contribueront à la qualité de vie de patients toujours plus nombreux à souffrir de diabète.




Ce qui est préoccupant, c'est que malgré une relative amélioration des horaires (mais c'est sans doute variable d'une région à l'autre), des financements ( prime impulseo, prime à l'informatisation, prime de soutien à la pratique, honoraires pour le DMG, financement de la formation médicale continue via l'accréditation, ....), et malgré le développement de la médecine générale en tant que spécialité reconnue à part entière, on observe un déficit des "vocations". Le climat sociologique contemporain voit le retour à la valorisation de la vie privée et familiale et c'est le cas dans tous les secteurs de la vie professionnelle, pas seulement en médecine. On voit même de jeunes cadres, ingénieurs, économistes, chimistes, etc.... quitter leur société pour se réorienter vers des métiers souvent plus manuels ou , en tout cas, qui semblent fournir plus de sens à leur vie. Une piste à explorer aussi en ce qui concerne la médecine générale ?
Dr Philippe Heureux
Maître de conférence UCL ( s'exprimant à titre personnel)
Sauf que de nombreuses autres spécialités médicales sont également en pénurie. Dès lors, déshabiller Pierre pour habiller Paul...
Pourquoi ne pas enfin décider d'augmenter le nombre d'étudiants en médecine qui peuvent obtenir un N- Inami au lieu de le limiter, alors qu'il y a un manque évident de médecins. La sélection à l'entrée est déjà particulièrement sévère.