Le traitement de l’apnée obstructive du sommeil (AOS) par pression positive continue (CPAP) réduit le risque cardiovasculaire dans certains cas, mais pourrait l’aggraver dans d’autres.
Une étude basée sur le registre britannique de l’asthme sévère a évalué 1.956 adultes selon quatre catégories d’indice de masse corporelle (IMC) : poids normal, surpoids, obésité et obésité sévère.
Une analyse portant sur plus de 36.000 adultes hypertendus a montré que l’augmentation du nombre de pas quotidiens, même en deçà du seuil de 10 000 pas, et une vitesse de marche plus élevée étaient associées à une diminution significative du risque d’événements cardiovasculaires majeurs.
Un essai randomisé mené à Stanford a évalué l’effet d’une modification personnalisée de l’angle de progression du pied (marche en légère rotation interne ou externe) chez 68 patients présentant une arthrose du compartiment médial du genou.
Installée depuis sept ans en cabinet privé dans le Brabant wallon, Muriel DM, pédiatre, témoigne de son parcours et de ses inquiétudes face au projet de réforme porté par le ministre de la Santé. Entre charges élevées, choix assumé du non-conventionnement et fidélité de sa patientèle, elle redoute qu’un contrôle administratif accru ne vienne briser la relation de confiance qu’elle entretient avec ses jeunes patients et leurs familles.
Deux nouvelles techniques pourraient transformer la pratique de la greffe cardiaque chez les donneurs décédés après arrêt circulatoire. Ces approches visent à préserver la fonction du cœur sans recourir à la perfusion régionale normothermique (NRP), une méthode efficace mais controversée du point de vue éthique.
Une méta-analyse publiée dans BMJ Evidence-Based Medicine confirme que certaines pratiques d’exercice physique doux, telles que le yoga, le tai-chi, la marche ou le jogging léger, peuvent améliorer significativement la qualité du sommeil chez les personnes souffrant d’insomnie. L’étude s’appuie sur l’analyse de 22 essais cliniques totalisant plus de 1.300 patients.
Considérés depuis longtemps comme responsables d’une élévation du cholestérol sanguin, les œufs ont été évités par de nombreux patients soucieux de leur santé cardiovasculaire. Toutefois, une étude menée par l’Université d’Australie-Méridionale apporte des données nouvelles.
Florence Bonkain, néphrologue, livre un témoignage poignant sur le désenchantement d’une vocation. Après treize années d’études et des années de pratique dans le public, elle dénonce l’instrumentalisation politique des médecins, le mépris pour leur travail quotidien, et l’hypocrisie des discours sur l’accès aux soins. À travers son regard, c’est toute une profession qui alerte : soigner ne peut plus se faire à perte, sous pression, ni dans la honte.
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Cher consœur , votre article résume toutes les difficultés auxquelles nous sommes confrontés.
Pénurie médicale organisée et prévisible .
Des actions musclées sont indispensables!
Igne
Je suis absolument d'accord avec Florence,jesuis pensionnée depuis longtemps apres avoir travaillé corps et ame pendant des années jusque 75ans moment où je n'ai plus eu acces a l'hopital a cause de mon age!!
Je suis gyneco et j'ai travaillé pour le bien etre de mes patientes tant que j'ai pu;
Je dois parfois me battre avec les copines de mon age qui disent que des consult a 30euro c'est "cher".
Je suis desesperée quand je vois ce qu'est devenue la medecine.
Merci beaucoup pour cet excellent message. J'ai dix ans de plus que vous, mais je m'y retrouve mots pour mots. J'ajouterais que personnellement je suis pneumologue et allergologue. Je travaille mis temps en privé et depuis toujours convention partielle pour arrondir. Cette crise m'a poussée à calculer et comme vous à prendre conscience mathématique de notre sous-paiement accepté naïvement... Parce que nous aimons soigner ! Avant tout.
Mais tout travail mérite salaire et salaire juste. En bref je travaille à perte et au final surtout pour payer les à-côtés mentionnés. Secrétariat loyer logiciel matériel disposables assurances et cette fameuse épargne pension qui nous rendra tellement riche à .... quel âge ? Comme vous notre reconnaissance et la reconnaissance de tous nos partenaires paramédicaux est en fait le centre de ma réflexion. Nos infirmiers, kinésithérapeutes, logopèdes, diététiciens etc etc ... Notre sortie du bois est juste. Il est temps de faire connaître toute cette problématique. Merci
Chère consœur, bravo pour votre témoignage. J'ai terminé comme vous (en 1984) 7 ans d'études suivies d'années de formation dans le cadre d'une médecine alternative. Qui nécessite comme vous le faites d'accorder au patient beaucoup de temps, et cela sans nomenclature officielle. Intenable sans "supplément" d'honoraire.
Si l'évolution administrative qui nous menace devait se confirmer... je mettrai peut-être fin à ce travail que j'adore....
Chère Consœur.
« À qui profite cette focalisation sur le seul point des « suppléments d’honoraires » ? Les politiques, avec l’aide des mutuelles, détournent l’attention du vrai problème. Ils diabolisent les médecins pour mieux transformer le système de soins en outil de profit, au détriment du patient et de la qualité » demandez-vous ?
Financièrement, aux mutualités. De là leur agressivité. Leurs assurances « Hospitalisation » (low cost par rapport aux VRAIES, AG, DKV, KBC-CBC,…) deviendront suffisantes pour les Patients et miraculeusementplus rentables !
Point barre, punt nieuwe regel.
Pas besoin de chercher ailleurs la cause de la voracité de ces étranges officines (qui n’existent dans aucun autre pays).
Comment répliquer ? En nous faisant respecter plutôt qu’en pleurnichant. Comme en France : les TRENTE-CINQ HEURES. Réduisons nos heures de travail au plus bas économiquement possible. En trois mois, « ILS » verront ce que c’est que de dégoûter les soignants.
Puisqu’il faut afficher dans nos salles d’attente les « prix de la marchandise » (dans la mentalité mercantiliste de notre ministre, un soin n’est qu’une marchandise comme une autre, tarifée comme aux putes), ajoutons-y que la boutique n’est ouverte que de telle heure à telle autre pour les soins, le reste du temps étant consacré aux obligations administratives.
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