Une revue de la littérature publiée par des chercheurs de l’University College London met en lumière le paysage hétérogène des études portant sur les produits en vente libre (OTC) - notamment les plantes médicinales, compléments alimentaires et micronutriments - utilisés pour soulager les symptômes dépressifs.
Grâce à une mini-IRM en LEGO®, plus d’un million d’enfants dans le monde ont pu se familiariser avec l’examen avant de le vivre réellement, rendant leur passage à l’hôpital moins stressant et réduisant le recours à la sédation.
Chaque année, plus de 10 000 hommes en Belgique apprennent qu’ils sont atteints d’un cancer de la prostate. Face à des traitements complexes et à des choix difficiles, beaucoup se sentent impuissants. Pour leur permettre de mieux comprendre et participer activement aux décisions médicales, l’asbl Nous Aussi lance une brochure claire et accessible destinée aux patients et à leurs proches.
Augmenter significativement la couverture vaccinale contre la grippe chez les enfants pourrait fortement réduire la charge globale de la grippe saisonnière en Belgique. C’est la conclusion d’une vaste étude menée par le Centre for Health Economics Research and Modelling Infectious Diseases (CHERMID) de l’Université d’Anvers, en collaboration avec l’Université de Hasselt (UHasselt), publiée dans la revue Epidemics.
La toute première étude en quarantaine menée à Vaccinopolis, la plateforme de recherche clinique de l’Université d’Anvers (UAntwerpen), s’est achevée avec succès. Réalisée en collaboration avec la province d’Anvers, la POM Antwerpen et le NIVI Research Center (Université de Copenhague), cette étude pionnière – baptisée FLAIM (Flu Longitudinal Antigenic and Immunological Monitoring) – ouvre de nouvelles perspectives pour mieux comprendre la propagation du virus de la grippe et les mécanismes de l’immunité.
Des psychiatres de l’hôpital de Pondichéry (Inde) rapportent dans l’Indian Journal of Psychiatry un cas intrigant : celui d’une jeune femme de 23 ans souffrant d’un syndrome de l’abdomen sans repos, une forme atypique du syndrome des jambes sans repos.
Une nouvelle analyse suggère qu’une prise d’aspirine à faible dose pourrait contribuer à diminuer le risque de développer un cancer chez les personnes âgées présentant une hématopoïèse clonale de potentiel indéterminé (CHIP), une anomalie génétique sanguine liée à l’inflammation et au vieillissement.
Des travaux antérieurs avaient déjà montré une prévalence plus élevée de polyarthrite rhumatoïde (PR) chez les agriculteurs et les femmes ayant appliqué elles-mêmes des insecticides, notamment celles ayant vécu ou travaillé dans des environnements agricoles. Cependant, peu d’études avaient identifié précisément les substances en cause.
Une étude récente apporte de nouvelles preuves du bénéfice de la vaccination contre le zona chez les adultes de 50 ans et plus. Les chercheurs ont montré que les personnes vaccinées présentaient un risque significativement plus faible de décès, de démence et d’événements cardiovasculaires majeurs après une infection par le virus varicelle-zona.
Une nouvelle mise à jour Cochrane confirme les bénéfices du contact peau à peau immédiat entre la mère et son nouveau-né. Cette pratique consiste à placer l’enfant nu sur la poitrine de sa mère dans les minutes suivant la naissance, avant toute séparation ou intervention médicale non urgente.
Une vaste étude nationale suédoise portant sur plus de 2 millions de femmes suivies pendant jusqu’à 46 ans après leur accouchement révèle un lien significatif entre plusieurs complications obstétricales et le risque ultérieur de développer une fibrillation auriculaire (FA).
Une vaste étude nationale menée en Suède sur plus de 250.000 patients atteints d’insuffisance cardiaque révèle qu’une exposition de courte durée à des températures extrêmes, qu’elles soient basses ou élevées, augmente significativement le risque de mortalité toutes causes confondues et cardiovasculaire.
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Ah ! Bien malheureuse Consœur !
Auriez-vous négligé ou oublié que nous sommes en Belgique ? Ces économistes se fichent pas mal du contenu des petites cases de leurs tableaux, schéma, graphiques, et autres présentations lumineuses.
Probablement, beaucoup d’entre elles et eux ne sont-ils pas capables de distinguer un opticien d’un ophtalmologue et n’en ont-ils surtout pas envie. Votre « histoire » de sous-spécialités n’est qu’une « fake news ». Pareil pour les "soi-disant" allergologues pédiatriques. Psychiatres, psychologues, psychothérapeutes, psychanalystes,… le moins cher est le meilleur.
JFK Jr ou VdB, même indifférence au réel.
Médecine « UFC-Que-choisir » ou « TestAchats » ? Oh non ! Dans les « autres commerces », si les produits « pointus » et leurs prix ne sont pas recommandés, ils sont admis par les associations de consommateurs. Dans votre cas, le montant de vos honoraires sera flingué par les clans mutualistes au prétexte de l’ « Accessibilité ». Quitte à faire disparaître cette activité.
C'est la version belgicaine du "progrès social".
Il fut un temps où le "tarif conventionnel" des plombages de molaires était inférieur au seul coût de l'amalgame.
Il fut un temps où le "tarif conventionnel" tout entier des radiographies du thorax ne couvrait que la pellicule d'un seul cliché. Face ? Profil ? Mais pas les deux et certainement pas la face et les deux profils ! Et nada pour la radiologie.
Autre blague, bien actuelle: "Trois ou plus de trois plaies K 30"! Souvenir: à deux, quatre heures à suturer un ouvrier passé au travers d'une verrière. Des dizaines de fils. L'anesthésiste de l'établissement pour contrôler la dose de Xylo.
Ccl: non seulement leurs représentant mais les Belgicains eux-mêmes (et surtout) s'en foutent.
Et comme dit VdTrump: "Les soins doivent être abordables pour chacune et chacun."
Chère et excellente Consœur,
Votre équation est implacable mais elle néglige une inconnue.
Vous présupposez que le « but du jeu » est de dispenser des soins excellents. C’est ce que nos Maîtres et nos Anciens nous ont appris et ordonné. Eux, c’étaient des médecins.
Aujourd’hui, les puissances qui d’en-haut veulent régir (et en fait régissent déjà) notre activité, l’INAMI, une entreprise d’assurance, ses courtiers improprement dénommés « Organismes assureurs », le ministère des « Affaires sociales » sont des organismes de gestion financière.
Rien d’autre ne les préoccupe.
Comme moi, vous avez un « numéro d’entreprise ». Vous participez donc de ce que l’on appelle « le secteur marchand ». Vous ne vendez ni pains ni pneus, vous vendez des « consultations ».
Le contenu du pain n’intéresse que l’Afsca qui doit s’assurer de l’auto-contrôle des boulangeries. La qualité des pneus vendus en notre cher Royaume n’est contrôlée ou suivie par aucun ministère. Pareil pour le « contenu » de votre « marchandise ».
Voyez la nomenclature de l’INAMI. On y chatouille et gratouille l’heure des consultations, le nombre de malades dans le même logis, etc mais il n’est pas question de différencier le rhume de la leucémie. Pas plus que leur traitement. (A ceci, seul le Ministère de la Justice s’intéresserait éventuellement !)
Vox populi, vox dei. La voix du peuple est celle d’un dieu. Les Belges l’ont vou-lu ainsi et M. VandenB. fait le job. D’ailleurs ni l’Académie de médecine ni le Conseil national de l’Ordre n’ont tiqué. Les médias… idem.
Tout au plus envisagent-ils de refiler les soins aux pharmacies (« populaires » ?) : « Nous voulons renforcer le rôle des PHARMACIENS dans la détection à temps des maladies et dans l'amélioration de l'observance thérapeutique » a écrit le ministre le 18 mars 2025 («Exposé d’orientation publique : Santé publique»
https://vandenbroucke.belgium.be/fr/actualites/expose-dorientation-publique-sante-publique)
Un pain est un pain. Stop.
Un pneu est un pneu. Stop.
Une consult’ est une consult’. Stop. Critères de qualité ? connais pas.
« The times, they are changing…
I'm ready to go anywhere, I'm ready for to fade » chantait le Tambourine man.
M'enfin ! Tout cela est normal. "Ils" en ont le "DROIT". Absolu et imprescriptible.
De la même façon qu'"ILS" ont le droit de caillasser les autobus et leurs chauffeurs, de menacer les enseignants lorsqu'ils ne "donnent" pas les points et diplômes, de donner des coups de couteau aux infirmiers des urgences,...
Il est temps d'imposerdes cours des TP (et des examens) de soumission dans le cursus des études plutôt que de s'étonner ou d'envisager un changement.
Peut-être les contrats devraient-ils d'ailleurs comprendre un engagement à subir "cela" sans limite ni ronchonnement.
Cher consœur , votre article résume toutes les difficultés auxquelles nous sommes confrontés.
Pénurie médicale organisée et prévisible .
Des actions musclées sont indispensables!
Igne
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