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Domus Medica dispose d'un plan d'urgence en quatre étapes. "Dans le pire des cas, tous les cabinets d'une zone de soins de première ligne fermeraient afin de réunir les médecins disponibles dans un seul poste de garde."
Aujourd'hui, la stratégie de test change. Des scénarios d'urgence sont également prévus pour le jour où trop de médecins contracteront l'omicron. "Chaque zone de médecine générale a reçu l'instruction de surveiller activement la situation et de fournir des capacités supplémentaires, par exemple en établissant une liste de médecins fraichement retraités qui peuvent être appelés."
Si plus de 5 % des médecins généralistes d'une zone de soins de première ligne font défaut, le plan d'urgence entre en vigueur. Il y a quatre étapes, explique Siegfried Van Eygen, vice-président de l'association des médecins généralistes Domus Medica. "Tant que moins d'un généraliste sur cinq est touché, nous fonctionnons en code jaune. Les zone de médecine générale doivent alors optimiser le fonctionnement de leur salle d'attente et séparer l'afflux de cas coronavirus des autres patients. Si nécessaire, des renforts peuvent être demandés à d'autres cercles de médecins généralistes. Si 20 à 40 % des médecins sont infectés, nous sommes en code orange. Les médecins dont le test est positif mais qui ne sont pas malades sont ensuite invités à effectuer des téléconsultations. Les patients qui doivent être vus par un médecin sont orientés vers des collègues avec lesquels des rendez-vous ont été pris. Il est conseillé aux médecins qui travaillent encore mais sont trop occupés de faire appel à un téléspécialiste pour trier les appels. Un centre de triage est maintenant également ouvert aux postes d'attente, qui renvoie les personnes qui ne sont pas assez malades chez elles en leur conseillant de faire un autotest."
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L’équipe de rédaction Tempo Today
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