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Een team voerde onderzoek uit met behulp van een nieuw type scanner om kleine knobbeltjes in een hormoonklier te markeren en hoge bloeddruk te behandelen door ze te verwijderen. Deze knobbeltjes komen voor bij 1 op de 20 mensen met hypertensie.
Publiée dans Nature Medicine, cette recherche résout un problème vieux de 60 ans, à savoir comment détecter ces nodules produisant des hormones, sans recourir à un examen difficile par cathéter. Pour l'étude, 128 personnes ont été soumises à un scanner après que les médecins ont découvert que leur hypertension était causée par un excès d’aldostérone. Le scanner a révélé que chez deux tiers des patients présentant une sécrétion élevée d'aldostérone, l'hormone provenait d'un nodule bénin, situé dans une des glandes surrénales, qui pouvait être retiré sans danger.
Le scanner utilise une dose de métomidate à courte durée d'action, un colorant radioactif qui ne se fixe que sur le nodule produisant l'aldostérone. Le scanner est aussi précis que l'ancien test par cathéter, plus rapide, indolore, et l’intervention a été techniquement réussie chez tous les patients. En outre, cette nouvelle technique, en combinaison d'un test urinaire pour les stéroïdes a permis de déterminer que 18 des 24 patients ont obtenu une pression artérielle normale - sans aucun médicament.
Le professeur Morris Brown, co-auteur principal de l'étude, « Jusqu'à présent, 99 % des cas ne sont jamais diagnostiqués en raison de la difficulté et de l'indisponibilité des tests. Espérons que cela soit sur le point de changer ».
Chez la plupart des personnes souffrant d'hypertension, la cause initiale est inconnue, et l'affection nécessite un traitement médicamenteux à vie. Des recherches antérieures avaient révélé que chez 5 à 10 % des personnes souffrant d'hypertension, la cause est une mutation génétique dans les glandes surrénales, qui entraîne une production excessive d'aldostérone. L'aldostérone entraîne une rétention de sel dans l'organisme, ce qui fait monter la pression artérielle. Les patients présentant des taux excessifs d'aldostérone dans le sang résistent aux traitements médicamenteux couramment utilisés contre l’HTA et présentent un risque accru de crise cardiaque et d’AVC.
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L’équipe de rédaction Tempo Today
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