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Si les admissions dans les hôpitaux dérapent, c'est toute la société qui devra intervenir. C'est ce que dit le plan d'urgence entre les lignes. Un lockdown devrait alors faire baisser tous les appels au 112 afin de limiter l'afflux dans les hôpitaux, selon De Standaard.
Pendant toute une semaine, les hôpitaux se sont préparés au pire scénario, au cas où l'omicron provoquerait une vague sans précédent de nouvelles admissions à l'hôpital. Ce plan d'urgence précisait déjà que, dans la "phase 3", les hôpitaux ne seraient plus tenus de libérer des lits spécifiquement pour les patients atteints de la maladie de Corona. Au lieu de cela, il y aurait une liste prioritaire de conditions urgentes et les hôpitaux eux-mêmes devraient choisir à l'entrée qui peut être admis ou non sur la base de directives éthiques et médicales.
Il s'agit plus particulièrement de la situation dans les hôpitaux. Mais dans ce plan d'urgence, on peut également lire entre les lignes que l'ensemble de la société devra apporter sa contribution. Ainsi, le Hospital & Transport Surge Capacity Committee (HTSC), le comité compétent du gouvernement, souligne qu'en phase 3, " des mesures visant à limiter l'afflux sont également souhaitables en dehors du secteur des soins ". Cela devrait, entre autres, "réduire l'afflux d'accidents de la circulation, d'accidents du travail et autres maximums", peut-on lire.
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L’équipe de rédaction Tempo Today
