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Au sein même de la psychiatrie légale, les politiciens sont critiqués sur la manière dont ils gèrent le conseil aux détenus dans notre pays, tant en prison qu'en dehors. Cette critique intervient alors qu'il semble que le jeune Dean ait été enlevé par Dave De Kock, un homme au lourd passé judiciaire.
Les soins psychiatriques pour les détenus existent certes, mais ils sont trop fragmentés et le secteur lui-même n'est pas assez écouté. C'est ce qu’affirme le psychiatre légiste Nils Verbeeck dans "De Ochtend".
"Nos politiciens n'écoutent pas le secteur", déclare M. Verbeeck. "On a toujours des projets, mais la politique est fragmentée. Ce n'est que lorsque de tels incidents se produisent que la politique entre en jeu."
"Dans la psychiatrie ordinaire, le nombre de lits a été réduit", dit Verbeeck. "Des centres de psychiatrie légale ont été mis en place, mais sans consulter le secteur pour savoir si cela s'intègre bien. Il plaide donc pour une politique globale au sein de la prison dans laquelle le profil du délinquant est étudié et un traitement lui est ensuite attribué.
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