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Une équipe de l’UNIGE démontre comment des perturbations de l’horloge circadienne augmentent le risque de développer une maladie neurodégénérative.
Les perturbations du sommeil et de l’horloge biologique interne sont fréquemment associées à la maladie neurodégénérative de Parkinson. Cependant, le lien entre le rythme biologique et le processus de dégénérescence des neurones reste incertain. Une équipe de l’Université de Genève (UNIGE) s’est intéressée à la destruction des neurones à divers moments de la journée en utilisant la mouche du vinaigre comme modèle d’étude. Les scientifiques ont découvert que le type de stress cellulaire impliqué dans la maladie de Parkinson est plus délétère pour les neurones lorsqu’il survient durant la nuit. Ces travaux sont à lire dans la revue Nature Communications.
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L’équipe de rédaction Tempo Today